Avec ses murs de velours rouge, ses banquettes de cuir et ses cartes postales épinglées derrière le comptoir, le Treurenberg ressemble à n’importe quel sombre bistro du pays. Qui aurait cru que cet endroit de perdition deviendrait l’une des institutions soiffardes de Bruxelles, surtout fréquentée par ses voisins immédiats, c’est-à-dire les cercles du pouvoir fédéral ?
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