Olivier Papegnies
Né en 1970 en Belgique, Olivier Papegnies devient photographe en 1997 après avoir fait des études de photographie, cinéma et vidéo en Belgique. Basé à Bruxelles, ses reportages sont publiés dans la presse belge et internationale. En 2015, il choisi de collaborer essentiellement avec différentes ONG tels que Médecins du Monde, Médecins Sans frontières, Plan International, Amnesty International,…
Il a reçu le Prix Spécial du Jury au festival du Scoop et du Journalisme à Angers pour son travail sur l’Agent Orange au Vietnam “Apocaplypse Children”, le prix européen “Lorenzo Natali” en 2009 pour son reportage “Bophal, 25 ans après”, le prix Belfius en 2010 de la meilleure photographie de presse en Belgique, le NPPA en 2011 pour son reportage sur le tremblement de terre en Haïti et reçoit une bourse du « Fonds pour le journalisme » pour réaliser un travail sur l’amour et le handicap mental en Belgique. Il remporte le Prix du journalisme du Parlement Wallonie-Bruxelles en 2012 pour ce travail intitulé “Fous d’Amour”.
En 2016, il reçoit une bourse du “Fonds pour le journalisme” afin de réaliser une enquête sur les chrétiens du Liban.
En 2017, il reçoit à nouveau une bourse du “Fonds pour le journalisme” pour enquêter sur les groupes d’autodéfense, les Koglweogo au Burkina Faso.
En 2018, il est primé au Festival international de photojournalisme à Perpignan « Visa pour l’image », il reçoit le Visa d’or de la presse numérique pour son reportage « Koglweogo, miroir d’une faillite d’Etat ».
En 2019, il reçoit le deuxième prix dans la catégorie ONG au Festival della Fotografia Etica en Italie pour son travail sur les grossesses non désirées en Côte d’Ivoire.
En 2020, Il reçoit un World Press Photo dans la catégorie Sport Stories pour son travail sur le football féminin « Les Gazelles de Gouandé » au Bénin.