I. Détour par la montagne drômoise « Le confinement, c’est la grande victoire du monde virtuel. Il fait beau dehors, il n’y a pas d’avion, les oiseaux s’en donnent à cœur joie, le potager attend, et je reste cloîtré comme un con dans l’électronique, à tapoter sur un clavier, à caresser un touchpad. » À la lecture de la lettre — publiée sur le site internet du magazine Iggdrasil — qu’il a rédigée, le 5 mai dernier, à l’intention d’un ami genevois, on sent bien Pablo Servigne en proie aux nombreux paradoxes imposés par notre époque. D’un côté, il y a cet agenda
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