Pause trois. Qu’il ait imposé le modèle et la couleur des parasols et chaises des cafés de la Grand-Place de Mons, comment s’en étonnerait-on, ses soucis du détail et de l’esthétique conjugués ? Qu’il ait ouvert l’intérieur zen de sa maison bourgeoise du centre-ville, dont aucun Montois n’ignore l’adresse, à une revue de déco qui en montra et vanta l’ambiance minimaliste, les couleurs blanches pimentées de rouge, le mobilier design peuplé de livres d’art et le jardinet intimiste, quoi de plus naturel, pour celui qui n’aime rien tant que de faire savoir son savoir-faire ? Et quand il rénove tant
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