En 1943, un autre fils de Lodewijk, Karel, s’était enrôlé à 19 ans — comme des milliers d’autres volontaires flamands et wallons — pour combattre au sein des unités SS sur le front de l’Est. En 2013, dans une tribune publiée par le quotidien De Morgen, Bart Somers confiera à quel point le destin de son oncle l’avait marqué. « Karel, 21 ans à la fin de la guerre, a survécu grâce à la providence. À la Libération, il a d’abord été condamné à mort par contumace. À son retour au pays, il a été condamné à la réclusion à
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