En juin 2007, Paul Magnette était chargé par Elio Di Rupo d’une mission commando : nettoyer Charleroi. Une décennie plus tard, l’universitaire sorti à la hâte du laboratoire a pris goût à la politique de terrain. A son actif, dix ans d’actions concrètes, d’autres plus discrètes, de belles envolées, de grands moments de solitude, de hors-piste, de langue de bois et d’idées encore trop neuves. Mais l’heure est grave ! L’ouragan Publifin et les guérilleros du PTB menacent de saborder le PS. Bref, le moment semble opportun pour une introspection totale. Au menu : le franc-parler de Jean-Maurice Dehousse, le mauvais goût des sondages, l’islam, la perte du père, et même la beauté des femmes italiennes.
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