Lieve Joris : « Malgré tout, les Congolais n’ont pas perdu la capacité de nous aimer »

Le Congo fut longtemps le territoire littéraire de Lieve Joris. Depuis trente ans, ses récits de voyage composent une chambre d’échos contrastée à l’ère post-coloniale. Mais comme l’Ulysse d’Homère et la Mathilde de Brel, Lieve est revenue. Revenue à Neerpelt, bout du monde limbourgeois où l’écrivaine a grandi et à partir duquel elle a élaboré son dernier livre.

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