Le plus grand écrivain français contemporain n’aime pas la Belgique. Depuis « Lanzarote » jusqu’aux récents romans « Soumission » et « Sérotonine », Michel Houellebecq a toujours parsemé ses histoires d’allusions caustiques à ce pays absurde et surtout à sa capitale, qui apparaît sale et dangereuse, mais aussi libre et exotique. Ce tableau grossier n’a pas échappé à Bart De Wever, grand lecteur du romancier français, au même titre que d’autres cadres de la N-VA. En novembre 2018, Houellebecq était à Bruxelles pour un discours intimiste sur le déclin de l’Occident. Où il a parlé à son auditoire de Nietzsche et Schopenhauer et à Wilfried de hareng frais.
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