Frank Vandenbroucke, le retour

VDB n'était pas vraiment mort. Il était juste touché dans son orgueil. Or, rien n'est de plus dangereux qu'une bête blessée.

VDB n’é­tait pas vrai­ment mort. Il était juste tou­ché dans son orgueil. Or, rien n’est de plus dan­ge­reux qu’une bête blessée.

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