Alexis Deswaef, l’épouvantail de la droite

Theo Francken refuse de le rencontrer, Charles Michel lui doit au moins une franche colère et le commissaire Vandersmissen ne recommandera jamais son profil sur LinkedIn. Régulièrement indigné mais plutôt par les circonstances que par vocation, Alexis Deswaef n’a toutefois pas grand-chose d’une pasionaria d’extrême gauche. L’ex-président de la Ligue des droits de l’homme, qui vient de céder la place à Olivia Venet, est convaincu, comme beaucoup d’avocats, que tout se règle par le droit et que celui-ci ne s’use que lorsque le populisme s’assied dessus.

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