Lors que certains journaux de confinement font jaser par leur indécente légèreté et leurs préoccupations bourgeoises, Wilfried s'est rappelé que les pandémies avaient déjà inspiré quelques-uns et quelques-unes des plus grandes gloires littéraires nationales. Morceaux choisis. Peut-être bien nés d'une grosse fièvre.
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