En février 2022, vous êtes plus de 3000 abonnés fidèles au magazine Wilfried. Sur les réseaux ou dans la presse, certains parlent de nous.
Sybille Mertens, économiste
« J’adore lire Wilfried. Pas question que ce magazine tombe. Devenir coopérateur et/ou s’abonner, est une manière bien concrète de soutenir cette presse de qualité et d’intérêt général. »
Philippe Marczewski, écrivain et lauréat du Prix Rossel 2021
« Je sais qu’il est de bon ton de mépriser la presse aujourd’hui. Moi je l’aime beaucoup, même quand elle m’énerve, même quand je ne suis pas d’accord avec elle. Je suis souvent d’accord avec ce que Wilfried publie, et parfois non, pas du tout. Il me semble que c’est une richesse, pour une société : des journaux et des magazines avec lesquels on peut être d’accord ou pas. Et aujourd’hui, c’est difficile pour la presse de tenir cette ligne-là. Et puis soutenir un magazine qui favorise le texte long, l’écriture, la photographie, et qui ne recourt pas à de la pige mal payée, c’est aussi préserver un espace où on ne publie pas n’importe quoi à la va-vite parce qu’il faut faire du clic. Bref, si vous le pouvez, soutenez Wilfried mag. »
Céline Nieuwenhuys, secrétaire générale de la Fédération des services sociaux
« Si vous ne connaissez pas encore, c’est le moment de découvrir Wilfried ! Coup de cœur pour le hors-série « Mémoires vives » et son analyse transversale (historique/géographique/urbanistique/et sensible) des inondations wallonnes en juillet 2021. »
Marie Colling, lectrice
« Un magazine découvert grâce à Facebook. Je suis très contente des deux exemplaires achetés. Je recommande à tous ceux qui souhaitent ne pas oublier la tragédie de mi-juillet (Wilfried n°17 et hors-série « Mémoires vives). Revues à transmettre à nos petits-enfants. »
Florence Fallah, lectrice
Pourquoi soutenir Wilfried ? « On peut tous contribuer à favoriser des médias professionnels, entre autres par leur neutralité et qualité de travail. Dire ‘les médias ce n’est plus ce que c’était !’, ce n’est pas suffisant. »
Delphine Pouppez, journaliste freelance et anthropologue
« Wilfried, c’est un acteur unique dans le paysage médiatique belge. C’est une histoire d’amour pour notre pays, qui souligne la lumière dans la grisaille, le relief dans nos terres de basse altitude. Une fascination pour l’humanité, une envie de comprendre, de partager, de sublimer une société en mouvement, ses faces claires, ses faces sombres – côté pile et côté face, et puis surtout scruter la tranche de la pièce, celle qui oscille, danse et se fracasse.
Une histoire d’amour pour le papier, pour la narration, pour le temps long. Pour la poésie, celle qui caresse, mord et sursaute.
Wilfried est de ceux qui vous passionnent, dès la première page, pour des sujets qui n’avaient jamais suscité votre intérêt. Qui font de vous (d’accord, de moi), en quelques mois, une « journaliste sportive » spécialisée dans le cyclisme féminin, alors que vous ne saviez rien de la discipline, grâce à quelques mots : « je te fais confiance ». Une presse qui donne leur chance aux pigistes inexpérimenté.es, en leur donnant (à nouveau) la confiance, le temps, le soutien, un accompagnement sans faille – même quand vous leur imposez dix jours de retard, que vous pleurez comme une gosse, que vous enchaînez les nuits blanches en quête de perfection, persuadée que vous n’y arriverez pas. Puis qui vous appelle pour vous féliciter, vous remercier, et vous commander l’article suivant, la voix peine d’excitation. Wilfried, ce sont des messages de proches ou d’inconnu.es qui prennent le temps de vous contacter, parfois des mois plus tard, pour vous donner des retours sur vos articles, vous partager leurs réflexions : parce que vous avez pris le temps de fouiller, de comprendre, le temps d’écrire et réécrire ; parce qu’ils et elles ont pris le temps de lire et de s’interroger, c’est un peu comme s’iels avaient passé quelques heures en votre compagnie.
Ne laissons pas cette presse mourir ! »
Marie-Eve Merckx, lectrice
« Wilfried est en danger ! C’est absolument indispensable de défendre et soutenir une offre médiatique variée, nuancée en Belgique. »
Quentin Crespel, préparateur physique
« Tous les trois mois, arrive dans ma boîte aux lettres Wilfried mag – en même temps intemporel, d’actualité et visionnaire – ce magazine accompagne mes quelques moments calmes grappillés sur la semaine. Les textes sont justes, bien rédigés et soulignés de photos de caractère. Les interviews sont pertinentes, lentes et laissent le temps aux interlocuteurs de développer leurs pensées, loin du bruit politique habituel.
Je vous invite à découvrir ce magazine, à acheter un numéro, à vous abonner ou à rejoindre la coopérative ? »