À Propos

Wilfried, le maga­zine qui raconte la Belgique
À lire comme un roman

« Comprendre, ne pas juger »
(Georges Simenon)

Le concept

 

Fondé en juin 2017, Wilfried est un média comme il n’en existe aucun autre en Belgique. Publié quatre fois par an, sur du papier, le maga­zine Wilfried se tient à dis­tance des micro-inci­dents de l’actualité pour mieux explo­rer les grands cou­rants de notre temps.

 

Wilfried cherche à explo­rer la Belgique sous ses mul­tiples facettes. Au som­maire ? Des inter­views fleuves, des récits en cou­lisses, des repor­tages au long cours, des por­traits fouillés, des chro­niques nour­ries par « un cer­tain regard »…

 

Wilfried accorde une atten­tion par­ti­cu­lière à la scène poli­tique belge. Nous vou­lons la racon­ter à la façon d’un roman, en mêlant approche docu­men­taire et art du récit.

Notre ligne édi­to­riale ? L’exigence au niveau du conte­nu, le res­pect de la nuance, mais aus­si le plai­sir de lec­ture et la fantaisie.

 

Visibilité

 

Tirage : 9 000 exemplaires.

Diffusion payante : Plus de 6 000 exem­plaires ven­dus par numé­ro, dont 3600 par abonnement.

Distribution : Wilfried est dis­po­nible dans plus de 1 300 points de vente en Wallonie, à Bruxelles et en Flandre (gares, aéro­ports, centres com­mer­ciaux, mar­chands de jour­naux, pompes à essence, super­mar­chés…), ain­si que dans 45 librai­ries indé­pen­dantes haut de gamme (Tropismes à Bruxelles, Pax à Liège, Papyrus à Namur, La Procure à Tournai, Furet du Nord à Louvain-la-Neuve…).

+ des points de vente alter­na­tifs, comme cer­tains maga­sins bio.

+ livrai­son dans toute l’Europe via notre bou­tique en ligne.

 

UN ENGAGEMENT

 

Le goût de la nuance, le res­pect du plu­ra­lisme, cela ne signi­fie pas que nous res­tons indif­fé­rents aux enjeux de notre temps, que ce soit l’écologie, le fémi­nisme, les inéga­li­tés sociales, la lutte contre le racisme. Bien au contraire : nous por­tons sur l’état du monde un regard pré­oc­cu­pé, concerné.

 

Notre volon­té de sor­tir tous les trois mois un maga­zine de qua­li­té, elle résulte d’un enga­ge­ment pro­fon­dé­ment ancré en nous. Cet enga­ge­ment se décline en trois volets.

 

Un volet cultu­rel, d’abord. Nos ima­gi­naires sont désor­mais ali­gnés sur l’outre-Quiévrain et l’outre-Atlantique. Entre Paris et New York, nos nou­velles capi­tales men­tales, il y a pour­tant Verviers, Dranouter, Clabecq, Anvers, Molenbeek, Tremelo, La Louvière, Namur… Autant de lieux qui prennent tout leur relief dans les pages de Wilfried. Il y a une réa­li­té belge, un décor belge, qui existe, avec ses côtés éner­vants mais aus­si son génie propre.

 

Un volet éthique, ensuite. Contre l’emmurement dans ses cer­ti­tudes, le refus de com­prendre autrui. Dans une époque enva­hie par l’agressivité et les juge­ments à l’emporte-pièce, nous vou­lons pra­ti­quer un jour­na­lisme de l’ouverture, de l’empathie, de la nuance et de l’équilibre.

 

Un volet spi­ri­tuel, enfin. La ten­dance est au court-terme, au flux conti­nu des images et des infos. Des études cog­ni­tives l’attestent : sur papier, on retient mieux ce que l’on lit, car les mots s’ancrent plus pro­fond dans les mémoires quand on se met hors ligne. Les articles que vous lirez dans Wilfried laissent une trace en vous. Ils s’impriment dans votre mémoire, à l’encontre d’un cer­tain air du temps qui incite à l’amnésie générale.

 

UNE COOPÉRATIVE 100% MADE IN BELGIQUE

 

Wilfred est orga­ni­sé en coopé­ra­tive. Le capi­tal de la socié­té a été appor­té par nos 340 coopé­ra­teurs et coopé­ra­trices, de simples citoyens qui ont choi­si de sou­te­nir une aven­ture édi­to­riale unique. Le fonc­tion­ne­ment en coopé­ra­tive est le meilleur garant de notre indé­pen­dance vis-à-vis de tous les pouvoirs.

 

Wilfried est impri­mé sur les hau­teurs de Liège. Nous sommes un maga­zine indé­pen­dant de tous les pou­voirs et de tous les grands groupes médias. Nous n’avons de compte à rendre qu’à nos lec­teurs et lectrices.

 

RECONNAISSANCE

 

Le tra­vail mené par les jour­na­listes du maga­zine Wilfried a été plu­sieurs fois récom­pen­sé. Nous offrons en libre accès les articles primés.

 

François Brabant a reçu en 2018 le prix Belfius de presse écrite pour son por­trait de Jean-Michel Javaux, ancien pré­sident d’Ecolo et bourg­mestre d’Amay.

 

Quentin Jardon s’est vu décer­ner en 2018 le prix du Développement durable pour un grand repor­tage consa­cré aux petites lignes fer­ro­viaires désaf­fec­tées (et bien­tôt remises en ser­vice ?) de Wallonie.

 

David Leloup et Joël Matriche ont reçu en 2019 le prix Belfius de presse éco­no­mique pour leur enquête sur Michèle Lempereur, femme d’affaires, lob­byiste, ex-épouse du ministre Guy Mathot et com­pagne de Willy Demeyer, l’actuel bourg­mestre de Liège.

 

Sophie Mignon a été nomi­née en 2020 au prix Belfius « coup de cœur » pour son enquête sur l’homme d’affaires bel­go-congo­lais George Forrest.

 

WILFRIED ?

 

Ah oui, et pour­quoi Wilfried ? On peut y voir une réfé­rence à un pré­nom très répan­du dans notre pays, un clin d’œil à Wilfried Martens, Premier ministre emblé­ma­tique dans les années 1980, mais aus­si –pour­quoi pas – à Wilfried Van Moer (légen­daire joueur du Standard) et à Wilfried Peeters (cou­reur cycliste ava­leur de pavés).